C’est sous ce titre que l’édito de cette semaine de L’illustré revendique une fraternelle indifférence pour les personnes transgenres. L’auteur, papa personnellement concerné, témoigne de manière courageuse et touchante de sa propre douleur, mais plaide aussi pour que les trans* ne bénéficient pas de condescendance, ni de tolérance, mais simplement pour que la transidentité soit socialement banalisée.
« La véritable liberté est d’être libre d’être qui nous sommes vraiment » a écrit Don Miguel Ruiz dans les 4 accords toltèques.
Le jour où la transidentité sera une simple banalité, il n’y aura plus ni homme trans*, ni femme trans*, mais simplement des hommes et des femmes libres.
Le chemin est encore long.