La Journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie du 17 mai est l’occasion pour la Ville de Genève de sensibiliser les cityoen.ne.s genevois.e.s aux discriminations en lien avec l’orientation sexuelle et l’identité de genre au travers d’une campagne d’affiches et de valoriser l’action des associations dans ce domaine.
Intitulée « Les mots pour le dire », la campagne 2016 de la Ville de Genève questionne le langage et rappelle les termes qui désignent, sans les stigmatiser, les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres dans les 6 langues les plus parlées à Genève (français, anglais, arabe, albanais, portugais et espagnol). Elle se fait en partenariat avec la Fédération genevoise des associations LGBT, l’Université Populaire Albanaise (UPA), le Centre de la Roseraie, l’Association pour la promotion des droits humains (ADPH) et le Service de l’Egalité de l’Université de Genève.
Visible du 9 au 26 mai dans les rues de la Ville, la campagne s’accompagnera d’actions de sensibilisation et de formation. Le lancement de la campagne aura lieu le 10 mardi 10 à 19h à UniMail.
Déroulement de cette soirée de lancement
• Accueil par Mme Brigitte Mantilleri, Directrice du Service égalité de l’UNIGE
• Mot d’introduction par Mme Sandrine Salerno, Conseillère administrative en charge de l’Egalité et de la Diversité à la Ville de Genève
• Présentation de la campagne « Les mots pour le dire » par M. Guillaume Mandicourt, Chargé de projets LGBTIQ au service Agenda 21 – Ville durable de la Ville de Genève
• Présentation d’un extrait du film « Les mots pour le dire » par Mme Albana Krasniqi, Directrice de l’Université Populaire Albanaise
• Table ronde: «Les mots pour le dire, de l’invisibilité à la reconnaissance par le langage»:
Quelle que soit la langue, les termes qui désignent de manière non-stigmatisante les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres (LGBT) restent méconnus. Ils sont parfois même tabous. Une méconnaissance qui entraine l’incompréhension et la peur et laisse le champ libre à la banalisation de l’injure. Nos intervenantes nous permettront d’explorer différentes dimensions des rapports entre identité et langage, et de questionner les dispositifs de catégorisation des personnes LGBT.
– Dre Stéphanie Pahud, linguiste et maître d’enseignement et de recherche à la Faculté des lettres de l’ Université de Lausanne. Dernier ouvrage paru : «Lanormalité» (Editions L’Age d’Homme)
– Dre Caroline Dayer, enseignante et chercheuse à la Faculté de psychologie et des sciences de l’éducation de l’Université de Genève. Auteure notamment de «Sous les pavés, le genre. Hacker le sexisme» (Editions de l’Aube)
– Dre Djemila Carron, docteure en droit, co-responsable de la Law Clinic sur les droits des personnes vulnérables – Université de Genève de l’Université de Genève et membre de l’association Les Indociles.
– Mme Badia El Koutit, fondatrice et directrice exécutive de l’ Association pour la Promotion des Droits Humains – APDH
Modération : Mme Miruna Coca-Cozma, réalisatrice et journaliste à la Télévision Suisse Romande – RTSLa soirée se terminera par un apéritif offert par la Ville de Genève.
• Mot d’introduction par Mme Sandrine Salerno, Conseillère administrative en charge de l’Egalité et de la Diversité à la Ville de Genève
• Présentation de la campagne « Les mots pour le dire » par M. Guillaume Mandicourt, Chargé de projets LGBTIQ au service Agenda 21 – Ville durable de la Ville de Genève
• Présentation d’un extrait du film « Les mots pour le dire » par Mme Albana Krasniqi, Directrice de l’Université Populaire Albanaise
• Table ronde: «Les mots pour le dire, de l’invisibilité à la reconnaissance par le langage»:
Quelle que soit la langue, les termes qui désignent de manière non-stigmatisante les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres (LGBT) restent méconnus. Ils sont parfois même tabous. Une méconnaissance qui entraine l’incompréhension et la peur et laisse le champ libre à la banalisation de l’injure. Nos intervenantes nous permettront d’explorer différentes dimensions des rapports entre identité et langage, et de questionner les dispositifs de catégorisation des personnes LGBT.
– Dre Stéphanie Pahud, linguiste et maître d’enseignement et de recherche à la Faculté des lettres de l’ Université de Lausanne. Dernier ouvrage paru : «Lanormalité» (Editions L’Age d’Homme)
– Dre Caroline Dayer, enseignante et chercheuse à la Faculté de psychologie et des sciences de l’éducation de l’Université de Genève. Auteure notamment de «Sous les pavés, le genre. Hacker le sexisme» (Editions de l’Aube)
– Dre Djemila Carron, docteure en droit, co-responsable de la Law Clinic sur les droits des personnes vulnérables – Université de Genève de l’Université de Genève et membre de l’association Les Indociles.
– Mme Badia El Koutit, fondatrice et directrice exécutive de l’ Association pour la Promotion des Droits Humains – APDH
Modération : Mme Miruna Coca-Cozma, réalisatrice et journaliste à la Télévision Suisse Romande – RTSLa soirée se terminera par un apéritif offert par la Ville de Genève.
10 mai 2016 – 19h – salle S150 – entrée libre
UniMail, Boulevard du Pont-d’Arve 40, 1204 Genève
Pour (re)voir la campagne 2015: http://www.federationlgbt-geneve.ch/projets/education/campagne-reagissons/
Chargement de la carte…
Date
Date(s) - 10.05.2016
18h00-21h00
Lieu
UniMail
Catégorie(s) Pas de Catégories