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Le PDC Genève s’engage en faveur des familles arc-en-ciel

27 juin 2016 by Chatty

PDC Genève : Familles d’aujourd’hui, l’importance de l’engagement

Désireux de pouvoir répondre à certaines questions liées à la famille, le PDC Genève a décidé en décembre 2015 de lancer un groupe de travail « familles » ayant pour objectif de trouver une définition de la famille actualisée et reflétant ses valeurs.

Son assemblée s’est réunie le jeudi 17 juin et a adopté le papier «Familles d’aujourd’hui, entre responsabilité et engagement ».

Le PDC Genève définit donc désormais la famille « comme une communauté de vie qui éduque, subvient aux besoins et protège son ou ses enfants. »

De cette définition, il est nécessaire de retenir trois points essentiels.

Premièrement, l’Etat doit valoriser la famille en tant que lieu central d’éducation et de protection des enfants et de leurs droits. Il accompagne la société en garantissant la protection et le bien-être de ses citoyens.

Deuxièmement, le lien familial peut s’étendre au delà du lien biologique. C’est les relations de soins, de solidarité et d’assistance qui se développent entre des individus de plusieurs générations qui constituent une communauté de vie.

Enfin, le PDC considère que l’engagement auprès d’un autre individu et d’un enfant doit être valorisé par notre société. C’est ce lien et la solidité de ce dernier qui créent le lien de parenté.

 

A lire aussi l’article de La Tribune de Genève

Le PDC dépoussière sa définition de la famille
Ouverture Monoparentales, traditionnelles ou arc-en-ciel, le parti défendra toutes les familles. Sophie Buchs, secrétaire générale, s’explique.

Sophie Buchs: «L’Etat doit poser un cadre juridique qui protège l’enfant, sans distinction entre les différents types de famille».

Par Eric Budry

Le Parti démocrate-chrétien (PDC) genevois a fait son aggiornamento sur la famille. Fruit du travail de réflexion d’un groupe d’une dizaine de personnes, la nouvelle définition – validée par une assemblée des délégués – englobe désormais sans ambiguïté toute la diversité des familles, y compris lorsque les parents sont du même sexe.

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Pour Sophie Buchs, secrétaire générale du parti, la mise au point était devenue encore plus nécessaire après la polémique déclenchée par la définition du couple restrictive que donnait l’initiative fédérale PDC «Non à la pénalisation du mariage»: l’union durable et réglementée par la loi d’un homme et d’une femme. Interview.

Sophie Buchs, pourquoi ce besoin de redéfinir la famille?
Quand un parti commence à être gêné de répondre à des questions sur son positionnement à propos d’un thème central pour lui, cela mérite que soit menée une réflexion. Et la situation est devenue encore plus inconfortable en février avec la campagne sur l’initiative du PDC sur l’imposition des couples. Je précise toutefois que c’est en décembre 2015 que le parti a décidé de confier cette réflexion à un groupe de travail.

Quelle est la définition à laquelle vous avez abouti?
Une famille, c’est un ou plusieurs adultes qui prennent l’engagement de subvenir aux besoins d’un ou de plusieurs enfants. Dans cette acceptation, peu importe le statut de cette communauté de vie ou l’existence ou non d’un lien biologique avec l’enfant. Le point principal, c’est que nous avons changé de perspective en nous centrant sur le bien de l’enfant et non plus sur le statut du ou des parents. Nous en tirons la conclusion que l’Etat doit poser un cadre juridique qui protège l’enfant, sans distinction entre les différents types de famille.

Vous incluez donc les couples de même sexe et, plus généralement, les familles arc-en-ciel?
Oui, mais de manière encore plus large, nous reconnaissons les difficultés des familles monoparentales ou recomposées. Nous nous sommes aussi intéressés au rôle des grands-parents ou aux charges que représentent les enfants à partir de 18 ans.

Votre ouverture à la diversité des familles va certainement susciter des rejets dans votre famille politique. Comment gérez-vous cela?
J’ai pris garde de tenir au courant le PDC suisse de l’évolution de notre réflexion. D’une manière générale, il est évident que les PDC dans les zones urbaines sont plus ouverts. A sa création, le parti était conservateur, mais les choses évoluent. Peut-être plus lentement que dans d’autres partis.

Et à Genève même?
Nous avons eu un bon débat, très riche, lors de l’assemblée des délégués qui a validé le 16 juin les conclusions de notre travail. Etonnamment, nous avons eu peu de réactions négatives.

Vous dites que le droit suisse doit être adapté en conséquence. C’est-à-dire?
Par exemple à l’adoption de l’enfant par le conjoint dans les couples homosexuels, que les Chambres fédérales viennent d’accepter. Nous souhaitons aussi un renforcement du statut du parent nourricier dans le droit de la famille.

Avez-vous des projets à Genève?
Nous voulons un meilleur soutien pour les familles ayant de grands enfants à charge. C’est pourquoi nous avons pensé à une aide financière de 50 à 80 francs par mois pour le paiement des primes d’assurance-maladie, qui quadruplent à partir de 18 ans. Une des pistes serait d’inclure le financement dans les mesures de compensation à RIE III. Pour ce faire, on pourrait ajouter cette aide aux allocations de formation. Mais cela pourrait passer par d’autres canaux.

Source : TDG

 

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